Yokai Wars

Année : 2019
Catégorie : Seinen
Genres : Aventure / Fantastique / Mystère / Surnaturel
Thèmes : Folklore / Yôkai / Monstres
Auteur : Yumisaki Misakix
Éditeur : Mana Books
Nb volumes VO : 10 (Terminé)
Nb volumes VF : 3 (En cours)
Âge conseillé : 14 ans et +

Dans un premier temps je tiens à remercier l’éditeur qui m’a généreusement envoyé ce premier tome à ma demande afin que je puisse le découvrir.
C’est un manga qui était bien évidemment en shopping list, d’ailleurs monsieur a même failli l’acheter une seconde fois. La raison est simple, nous avons toujours été intéressé par tout ce qui concerne l’univers des yôkai, maintenant c’est vrai que dernièrement nous les retrouvons un peu à toutes les sauces, donc est-ce que ce manga vaut le détour ? C’est bel et bien à cette question que je vais tenter ici de répondre.

Comme toujours, je vous propose dans un premier temps la présentation de l’éditeur que vous pouvez retrouver directement sur son site.

YOKAI WARS : L’ENFER N’EST PAS SUR TERRE…

Transportés dans un mystérieux village sur lequel règne Wanyudo, le yokai à roue de feu, Masora et Mikako vont devoir traverser bien des épreuves pour s’enfuir de ce cauchemar…

Serez-vous de ceux qui fuient ou de ceux qui combattent ?Rendez-vous le 7 septembre en librairie pour le début de cette boucle infernale !

Résumé du premier tome :
Masora est un jeune homme qui mène une vie ennuyeuse et répétitive. Son obsession : rester discret en classe !
Un jour, il perd connaissance dans le gymnase du lycée et se réveille dans le village des yokai ! Le seul moyen de retourner dans son monde est de terrasser Wanyudo, le yokai en forme de roue en feu.
Accompagné de Mikako, une lycéenne pour le moins étrange, les deux étudiants partent défier le maître des lieux, prêts à tout pour survivre et s’échapper de cet endroit infernal !
(Source : http://mana-books.com/news/yokai-wars-lenfer-nest-pas-sur-terre)

Extrait : https://mana-books.com/uploads/preview/yokai-wars/index.html#page=62

Concernant les petites informations toujours intéressantes à savoir lorsque l’on est face à un nouveau manga.
L’on noteras que le manga est terminé au Japon, et compte en tout 10 tomes.
Pour ce qui est de son auteur, Yumisaki Misakix, je n’ai pas trouvé beaucoup d’informations le concernant. Si ce n’est qu’il a publié son premier manga en France dans le magazine de pré-publication numérique TSUBOMI : Mariko et le château fantôme. Pour celles et ceux qui suivent un peu l’actualité autour du manga, vous savez que la plateforme en ligne est fermée, je ne sais donc pas si nous pourrons un jour retrouver ce manga par chez nous. J’espère…

Pour commencer, je tiens à dire que j’ai plutôt apprécié ce premier tome que je trouve néanmoins très introductif. En effet, il met en place sans doute l’idée de base du manga, à savoir cet univers parallèle dans lequel se retrouve les héros et qui est présenté comme étant le village des yôkai.
Au final nous en savons cependant très peu sur ce lieu et plusieurs questions peuvent se poser.
Est-ce un lieu qui existe quelque part ou qui a existé, dans quelle réalité se situe t’il, etc…
Le fait est qu’il semble vide, et que nos personnages n’y ont pas rencontrés âmes qui vivent.

Quelques mots sur les personnages, je les ai trouvés intéressant et au final complémentaire.
Masora est un élève lambda qui est plutôt seul et qui cherche à se faire oublier de ses camarades, même si en douce il troll. Il n’est clairement pas présenté comme étant le jeune homme parfait.
Mikako quant à elle est plus originale, déjà c’est une métisse et puis c’est aussi une fonceuse, dans tous les sens du terme puisqu’elle est aussi présentée comme une sportive douée au 100 mètres.
Mais un conseil, ne vous attachez pas trop à elle…
J’ai même trouvé cela étrange que l’on s’attarde sur elle, notamment via un flash-back dont je doute un peu de l’utilité, peut-être pour cerner un peu mieux les choses…

Nous sommes face à une mécanique qui n’est pas sans me rappeler Gantz dans ses grandes lignes.
Nos protagonistes vont se retrouver devant un film de présentation qui les inviteras à tuer un yôkai si ils souhaitent sortir en vie de l’endroit où ils se trouvent.
Et visiblement ils n’ont pas le choix, sinon c’est la mort assurée et nous l’apprendrons bien assez tôt.
Peu d’informations leur sont délivrées, et c’est bien par eux-même qu’ils devront analyser leur ennemi pour en trouver les points faibles si ils veulent lui échapper. D’ailleurs ce dernier est coriace, et je vous préviens, il semblerait que le mangaka apprécie le gore et la découpe. Ce qui m’a d’ailleurs agréablement surprise, car visuellement c’est quelque chose que j’apprécie.
Nous sommes clairement face à un seinen.
Un autre élément important, c’est bel et bien leur vie qu’il risque, et chacun dispose d’un certain nombre de vie (3), matérialisées sous la forme d’un « oiseau » à trois pattes. Une patte équivalent bien évidemment à une vie et quand plus de patte, c’est la fin.
Vous pouvez d’ailleurs retrouver ce symbole sur la jaquette et derrière celle-ci, ainsi que sur la couverture du manga, un symbole qui sera donc important mais dont nous ne savons rien à ce stade.
Enfin, un dernier détail attirera notre attention, c’est le fait que lorsque les « victimes » sont retrouvées, ces dernières se trouvent à côté d’une stèle funéraire gravée à leur nom. un élément que l’on retrouve également lorsqu’ils arrivent dans le village des yôkai.

Dans ce premier tome il est question du yôkai Wanyudo qui est une roue en feu. Vous pouvez d’ailleurs l’apercevoir sur la jaquette.
Ce qui est intéressant et qui pose également beaucoup de questions c’est que lorsque Masora et Mikako vont se retrouver face à la vidéo, il sera fait mention d’une volonté de ce dernier de se venger et d’anéantir les humains qu’il tient pour responsable du réchauffement climatique.
Bien évidemment, si vous cherchez une présentation du yôkai en question, il n’est pas question de ce détail. Masora lui-même va faire des recherches et ne comprendra pas vraiment le rapport.
Est-ce que nous devons nous attendre à un aspect écologique derrière l’histoire du manga ? Pour le moment je ne dispose pas de réponse à cette question et c’est vrai que j’aurais réellement apprécié une postface de l’auteur à la fin.
Mais ce n’est pas le cas, ce qui pour moi est toujours quelque chose que je déplore.
D’ailleurs si au niveau de l’édition, nous sommes face à un ouvrage de qualité (impression, choix du papier), hormis une page couleur au début nous n’y trouvons rien de particulier.

Pour conclure, si je ne savais pas du tout à quoi m’attendre avec ce manga, je dois avouer que c’était plutôt une bonne surprise. La fin nous laisse imaginer que ce n’est que le début et nous allons donc sans doute dans les prochains tomes découvrir d’autres yôkai ce qui me paraît être intéressant.
Je suis encore un peu dans le flou quant à la volonté qu’avait le mangaka derrière cette œuvre, est-ce une pure œuvre de divertissement ou bien derrière voulait-il apporter un message en particulier ?
A voir… Dans tous les cas, l’univers me plaît et c’est sans doute le principal.
En plus de cela j’ai trouvé les dessins agréables, avec des arrière-plans travaillés et détaillés.
Le rythme est agréable et il n’y a pas vraiment de phases de latence, vous n’allez pas vous ennuyer.
Bref, je ne peux que vous le conseiller pour le moment… nul doute que vous aurez sans doute droit à mon avis pour la suite.

Tome 2

Voici pour commencer le résumé que l’on retrouve au dos du tome :
« De retour dans son monde après avoir terrassé Wanyud, Masora est contacté par de mystérieux individus se présentant eux aussi comme des vainqueurs.
Malgré ses doutes, il se rend au lieu du rendez-vous. Yuzuki, la jeune fille avec qui il devra combattre un nouveau yokai, le Kappa, cache-t-elle un secret qui la relie au village des yokai?! »

Dans ce nouveau tome, la mécanique va rester la même, les protagonistes sont emportés toujours par deux vers un village dont nous ignorons encore beaucoup de choses.
Là, ils y découvrent une stèle mortuaire portant leurs noms et prénoms, puis ils vont visionner un film dans lequel il découvre une courte présentation d’un yokai les invitant à le tuer afin de pouvoir s’en sortir vivant. Pour cela ils sont absolument seuls dans le village, et disposent de tout ce qui les entourent ainsi que de trois vies matérialisées sous forme d’une sorte d’écusson représentant un corbeau à trois pattes. Si ils n’y arrivent pas et meurt trois fois, il en est de même dans la vie réel où l’on va retrouver leurs cadavres mutilés en fonction de leur mort. Dans le cas où ils réussissent, leur corps est intact et ils peuvent poursuivre leur petite vie.

Au début du tome, l’auteur revient sur le cas de Masora qui a vu Mikako mourir, mais il ne peut guère se lamenter trop longtemps. Un groupe d’individus se présentant comme des « vainqueurs » va le contacter. N’ayant pas de raison de refuser, il va accepter de les rencontrer et chacun d’eux va raconter son histoire.
En plus de cela, ces derniers ont établi une liste des règles concernant le village des yokai et nous apprendrons par la même occasion qu’il y a une contrainte de temps en plus de tout le reste.
Ils constatent également qu’ils n’ont aucun point en commun, toute cette histoire serait-elle simplement le fruit du hasard ?

C’est alors qu’un fait étrange va se produire, en effet le jeune homme qui se croyait à présent tranquille, va se retrouver à nouveau dans le village des yokai avec une partenaire pour le moins caractériel. Mais le plus surprenant c’est qu’elle est la sœur d’une des participantes disparues… Qu’en penser pour la suite des événements ?
Quoi qu’il en soit, Masora est bien décidé à tout faire pour la protéger, tout comme Mikako l’avait fait pour lui.

Dans ce manga, le yokai dont il sera question est le Kappa ! Un yokai que vous devez sans doute connaître, obsédé par les shirikodama ce dernier est particulièrement dangereux, mais également très rapide, d’autant qu’il est capable de se téléporter grâce aux traces qu’il laisse sur le sol.
Et encore une fois, c’est grâce à l’analyse de leur adversaire que les deux jeunes pourront avoir une chance de s’en sortir.
Que le combat commence !

 

La fin du manga quant à elle nous donnera bien évidemment de lire la suite. En effet, les survivants ou « vainqueurs » sont à la recherche d’informations sur le village des yokai et quelqu’un pourrait bien leur en donner…

Pour conclure, le premier tome était pour moi une bonne surprise et je dois dire qu’avec ce second tome cela me conforte vraiment dans l’idée de le suivre car je l’ai réellement apprécié et nous sommes à la limite du coup de cœur.
J’aime beaucoup la combinaison du survival avec le folkore japonais au travers de ces yokai.
Autre chose que je trouve particulièrement intéressante, c’est le fait que chacun des tomes est consacré à un Yokai en particulier, tout en conservant une intrigue principale, un fil rouge consistant à en découvrir un peu plus sur l’étrange village et le phénomène dont sont victimes plusieurs individus qui ne manqueront pas de se retrouver pour se serrer les coudes.
Enfin comment ne pas revenir sur la qualité graphique de l’oeuvre. On pourras encore plus apprécier le talent du mangaka au travers des illustrations pleine page que l’on retrouve entre certains chapitres. Et si les personnages ont un aspect plutôt « mignon », il ne faut pas oublier le côté horrifique de ce seinen, en effet ça charcute et les yokai ne font aucun cadeau, en plus le Kappa dont il est question ici est très imaginatif.
Lors de mon avis concernant le premier tome j’avais émis l’hypothèse de possibles considérations écologiques étant donné que le yokai Wanyudo avait un discours autour du réchauffement climatique. Et bien dans ce nouveau tome, il n’y a rien de la sorte et le yokai semble correspondre à ce à quoi nous sommes habitués.
La narration est également assez similaire au tome précédent, et nous ne manqueront pas d’avoir droit à la présentation de la nouvelle partenaire de Masora sous forme de flashback.
Bref, j’ai adoré, et c’est un manga que je vous invite vraiment à découvrir.

Tome 3

Je commence par le petit résumé que l’on retrouve au dos du tome :
« Entre en scène un yokai plus dangereux encore que Wanyudo et le Kappa !
Alors que le monde est en proie à la panique après les meurtres simultanés perpétrés par le tueur à la stèle, certains atterrissent pour la deuxième fois au village des yokai.
Cette fois-ci, vont-ils s’en sortir vivants ?!
Une capacité au combat impressionnante et une beauté divine : voici l’avènement de l’impératrice, la femme des neiges ! »

Devant le danger de celui que l’on surnomme le tueur à la stèle, les autorités ont pris des mesures pour protéger les plus jeunes, même si ces dernières sont totalement inutiles.
Masora et son groupe de survivants cherchent toujours des réponses notamment concernant le fameux « village yokai ».
Un vieil homme ayant des informations aurait pu leur venir en aide, malheureusement il n’en aura pas le temps. A la fin du manga nous en apprendrons d’ailleurs un peu plus à son sujet et son lien avec le village aujourd’hui disparu de : Sozenmura.

Sans grande surprise, un autre membre du groupe, Koto, étudiant en lettre qui avait affronté Dorotabo (bonhomme boueux que l’on retrouve dans les rizières), va désormais se retrouver face à la femme des neiges, un yokai particulièrement instable et dangereux que nous rencontrons dans bon nombre de mangas. Vous pouvez d’ailleurs l’admirer sur la jaquette de ce tome, n’est-elle pas magnifique ?
Bien évidemment, comme pour les deux autres tomes, l’arrivée dans le village est identique et Koto ne va donc pas être seul !
L’occasion pour le lecteur de découvrir un nouveau personnage, à savoir Hoshifumi, un professeur de science et maître de conférences. Ce dernier va passer très rapidement pour un original de par sa façon de tout analyser sous le prisme des mathématiques, mais pour autant sa méthode est efficace.
D’autant que combinée avec l’approche de Koto se basant davantage sur l’histoire des lieux, ils seront tous deux en capacité de faire face à leur nouvelle ennemie.
Hoshifumi n’en était d’ailleurs pas à son premier yokai, car il avait déjà affronté Hitotsume-kozo (gamin à un œil qui s’introduit chez les gens pour y faire des bêtises et répondre « ta gueule » quand on le réprimande) et il sait donc parfaitement à quoi s’attendre.
Bien que solitaire, il pourrait être une aide précieuse pour notre équipe de survivant, encore faudrait-il qu’il le veuille.

Comme pour les tomes précédents, ce que j’appellerais la mécanique de l’histoire, reste identique. Nous avons un duo d’individus qui se retrouvent face à un yokai dans les mêmes conditions. Nous avons également un ou plusieurs flashback nous permettant d’en apprendre un peu plus sur les protagonistes, ici ce sera le cas pour Koto, ce qui va d’ailleurs expliquer un peu mieux sa motivation à résoudre l’énigme du village des yokai.
Concernant notre brave Masora, ce dernier semble développer quelques capacités étranges, en effet il arrive à percevoir ses camarades lorsqu’ils se retrouvent dans le village, mais pour le moment tout cela reste un peu flou.
Une chose est certaine, nos amis ne sont pas au bout de leurs surprises car certains vont de nouveaux êtres appelés…

Pour conclure, à nouveau j’ai beaucoup apprécié ce tome, sans doute encore plus que le précédent. J’ai notamment aimé la manière dont est mené le combat contre la femme des neiges, avec ce duo aux compétences complémentaires qui fonctionne à merveille.
En plus de cela, je suis à nouveau sous le charme des dessins.
C’est un manga que je conseille pour les amateurs du genre, il mérite vraiment que l’on s’y intéresse, et pour moi c’est l’une de mes meilleures découvertes de l’année dernière dans ce registre.

Tome 4

En fermant ce quatrième tome je pensais vraiment que nous arrivions quasiment à la fin de l’histoire, mais la série étant terminée en 10 tomes il s’agit là sans doute uniquement d’une première partie qui prend fin durant laquelle chacun des participants aura donc affronté différents yokai

Un tome que l’on pourra aisément diviser en deux parties, dans l’une d’elle il sera question d’un affrontement avec le yokai Nurarihyon, sans doute un peu moins connu que les précédents, qui prend la forme d’un petit vieux ayant la tête en forme d’une gourde, s’introduisant chez les gens comme si il était chez lui. Bref, clairement ce n’est pas le genre de type que vous aimeriez voir débarquer chez vous !
En plus de cela, il est doté de certaines capacités faisant de lui un adversaire tout particulièrement coriace, auquel Masora et Koko la fille de Hoshifumi auront bien du mal à faire face. D’ailleurs deux de leurs camarades auront malheureusement déjà succombés face aux attaques de ce dernier.
Dans cette première partie la mécanique de l’histoire reste identique : appel, combat, etc…
Nous en apprendrons un peu plus sur Koko et son caractère bien trempé, ainsi que la relation qu’elle entretient avec son père via un flashback des plus intéressant.

Les choses vont ensuite se passer totalement différemment nous offrant au passage son lot de révélations.
Les cinq survivant à savoir Masora, Kokko, Hoshifumi, Koto et Yuzuki, vont tous êtres appelé ensemble !
Les grues symbolisant leurs « vies » n’ont alors plus qu’une patte, de plus les deux individus qu’ils voyaient jusqu’alors en vidéo sont bien là devant eux…
Un étrange message les invites alors à mettre fin aux ambitions d’un certain Shizuru Yatagami venant de se réveiller afin de sauver le Japon.
Nous allons comprendre qu’au final les jeunes et moins jeunes « appelés » ne sont pas vraiment sans liens les uns avec les autres. Une donnée que nous avions déjà pu pressentir par rapport au lien de parenté qu’il y avait entre certains appelés.
Cela serait lié à leur passé, ou plutôt au passé de leurs familles appartenant à un clan, celui du fameux village de Sozenmura dans lequel ils se sont retrouvés à chaque fois pour affronter leurs ennemis….

Ce n’est donc plus des Yokai qu’ils devront affronter mais ce fameux Shizuru ! Pourquoi ? Qui est t-il ?
Ayant l’air d’un dieu, ce dernier pourrait bien être encore plus redoutable que tous les Yokai qu’ils ont dû affronter jusqu’à présent !

Comme toujours j’ai trouvé la dynamique de ce tome très intéressante, tout s’enchaîne assez rapidement et nous avons le droit à des scènes de combat d’une grande violence où personne n’est ménagé. Membres découpés, cervelles en charpie, rien est épargné à nos participants…
Bref, j’ai énormément apprécié ma lecture et j’en redemande… vivement la suite !
Est-ce que je le conseille aux amateurs du genre ? Bien évidemment !

Je remercie Mana Books pour l’envoi de ce tome.

Connaissiez-vous ce manga ?
Si non, est-ce qu’il vous intéresse ?
Aimez-vous les histoires autour des yōkai ?

Vous pouvez retrouver les différents tomes parus à ce jour ou à paraître ainsi que leurs résumés directement sur la page de l’éditeur. (Il vous suffit de cliquer sur les images ci-dessous)

 

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CatZ

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